« Regarder la rue sans baisser les yeux ». C’est le message d’Océane, Donna et Elisa mis en scène et en couleurs par l’artiste française Magma. Cette dernière œuvre de la 7ème édition du festival Street Art, réalisée en partenariat avec l’association Intramurock, interpelle quant à la question du harcèlement de rue. La rue, un espace de liberté et d’égalité entre les hommes et les femmes.
Une nouvelle édition de l’opération « Du Stade vers l’Emploi » s’est déroulée au Stade de la Libération mardi. 87 demandeurs d’emploi et 15 chefs d’entreprise ont pu se rencontrer et échanger via la pratique sportive.
Alors que la possible découverte de la momie de Nefertiti agite le monde de l’archéologie et les passionnés d’égyptologie depuis quelques jours, le visage de l’une des plus célèbres reine d’Egypte s’affiche en majesté au 18 rue des Carreaux. Une œuvre tout en contraste réalisée par l’artiste boulonnais Ludovik Truffier.
Animés par la passion de l’histoire mais aussi par le respect du souvenir des hommes et femmes qui le composent, les membres de l’association boulonnaise « Son histoire, mes émotions » réalisent aussi de nombreuses recherches qu’ils souhaitent partager avec le plus grand nombre, pour que la mémoire reste et puisse continuer à se transmettre au fil des générations.
Les Cœurs de ville doivent se réinventer face à la transformation de l'économie et des modes de consommation. Aujourd'hui, comme demain, le commerce ne se fait plus comme hier. La ville n'a pas vocation à aller à l'encontre de ces évolutions. Pour autant, nous devons accentuer les conditions pour accompagner ces changements. C'est la raison pour laquelle nous mettons en place, dans la continuité des mesures existantes, immédiatement 5 nouvelles actions concrètes :
Mardi après-midi, les enfants de 6 à 12 ans inscrits au PRE qui ont bénéficié des séances de natation dans le cadre du dispositif d’été « Savoir nager » ont été reçus à l’Hôtel de ville pour obtenir leurs diplômes et certificats d’aisance aquatique.
Du karaté mais aussi du Krav-Maga et des sélections pour les Championnats du Monde !
Le Street Art, c’est aussi le plaisir des murs cachés. Ceux que l’on découvre par hasard ou qui nécessite un peu plus de perspicacité pour être admiré. C’est le cas de l’œuvre de John Wentz. Perfectionniste, passionné et à l’esprit grand ouvert, l’artiste américain conçoit ses œuvres comme un « cadeau de beauté » aux habitants. N’hésitez donc pas à faire un crochet par la rue Farinette pour admirer ce présent.
Alors que Javier Barriga et Mohamed El Ghacham ont mis la touche finale à leurs œuvres rue de Bréquerecque et boulevard Chanzy, une autre création immense a vu le jour boulevard Sainte-Beuve. L’artiste canadien Jarus est de retour ! Avec un magnifique portrait de femme tout en contraste face à la mer.
Festival Street Art acte 4. Après les œuvres de Mélissa Follet, Akut et Mohamed El Ghacham, l’artiste chilien Javier Barriga offre au parcours d’art urbain un portrait hyperréaliste sans visage. A chacun de laisser libre court à ses sentiments et interprétations pour s’identifier au personnage car comme le confie l’artiste « si le street-art est éphémère, les histoires sont éternelles ».